Le Chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a achevé son séjour en Ecosse dans le cadre du sommet des dirigeants mondiaux de la 26ème Conférence des parties sur le climat. Togotopnews vous décrit la visite du numéro 1 de la République en 3 étapes.
Entre audiences, rencontres de haut niveau et moments ensemble avec d’autres dirigeants du monde, l’agenda de Faure Gnassingbé a été très chargé à cette Conférence des parties sur le climat.
Prise de photos avec d’éminentes personnalités
Faure Gnassingbé a été accueilli le 1er novembre par le Premier ministre britannique, Boris Johnson et le Secrétaire général des Nations unies, Antonnio Guterres. Les échanges ont porté sur plusieurs thématiques liées aux changements climatiques.
Des rencontres de haut niveau
Le Président togolais a participé à des événements de haut niveau tels que la rencontre « Action sur les forêts et l’utilisation des terres » et le lancement du Global Methane Pledge (engagement mondial sur le méthane) initié par les États-Unis d’Amérique en collaboration avec l’Union européenne. Il était présent également à la cérémonie inaugurale du mécanisme de financement de l’Agence internationale de l’énergie renouvelable (IRENA) pour l’accélération de la transition énergétique, et au sommet de la Banque africaine de développement (BAD) sur l’accélération de l’adaptation en Afrique.
Des audiences
Le Chef de l’Etat a accordé des audiences à plusieurs personnalités, spécialement à la Secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, Paricia Espinosa, à l’Ambassadrice régionale de la COP26 pour l’Afrique, Madame Janet Rogan et au Directeur exécutif du Fonds vert pour le climat, Monsieur Yannick Glemareck.
Il est à retenir qu’à cette rencontre, Faure Gnassingbé et sa délégation ont réitéré l’engagement du Togo de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50% à l’horizon 2030.
Par ailleurs, près de 90 Etats ont rejoint le 2 novembre un « pacte global pour le méthane », une initiative des Etats-Unis et de l’Union européenne pour s’attaquer à ce polluant très puissant, responsable d’un quart du réchauffement climatique depuis l’ère préindustrielle. Des pays se sont engagés à réduire les émissions mondiales de méthane d’au moins 30 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2020. Il s’agit du premier engagement politique mondial en la matière.
Atha ASSAN